Le conseil à l’heure du développement durable et de l’environnement

CB049018Un nouvel acteur dans la ‘petite’ sphère du Green IT fait sont apparitions. Imagreen n’est pas un cabinet de conseil en technologie et de recrutement comme les autres. La société se veut être le premier cabinet spécialiste dans le secteur de l’environnement. Nous vous faisons part de la montée du Green IT ici et ici. Plusieurs sociétés tendent à se lancer dans ce secteur qui semble porteur de croissance.

La toute jeune société lilloise, fondée le 3 juin de cette année, est un cabinet de recrutement ainsi qu’un cabinet d’assistance technique. Le cabinet souhaite apporter du personnel qualifié dans les projets environnementaux de ses clients. Ces projets s’axent sur plusieurs filières : le traitement de l’eau, la gestion des déchets, la construction propre, les transports propres et les énergies renouvelables. Nous pouvons d’ailleurs retrouver sur son portail des offres d’emplois correspondant aux secteurs visés.

Les problématiques liés au développement durable et à l’environnement sont de plus en plus présentes dans les entreprises, comme en atteste les prix entreprises et environnement remis par le gouvernement lors du 24e salon de Pollutec, le mardi 30 novembre dernier. Néanmoins,  le passage au développement durable n’est pas simple, c’est pour cela que de jeunes start-up, tels que Imagreen, se lancent dans cette démarche. Leur rôle est de les sensibiliser et de les accompagner dans cette mutation ou d’apporter leur savoir-faire dans les secteurs de l’environnement.

Le développement durable peut être un atout pour entreprise en terme réduction de coût et d’innovation. Elle renvoie une image positive, pérennise l’entreprise et participe donc pleinement à la RSE.

1 réponse

  1. Green IT dit :

    Je doute que « le développement durable pérennise l’entreprise ». Pas encore. Les entreprises réagissent majoritairement à :
    – des contraintes réglementaires (REACH par exemple),
    – des contraintes de coût (matière première, énergie, etc.),
    – et un risque d’image.

    Rares sont les entreprises qui anticipent réellement l’épuisement des ressources non renouvelables et l’inévitable chamboulement de notre société qui en découlera (et dont nous ressentons actuellement les prémices).

    Cette situation est liée à un paramètre essentiel : les actionnaires veulent des bénéfices à court terme coûte que coûte. Cette situation ne permet pas aux entreprises de bâtir une stratégie « durable ».

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